Mory, 20 mois, viré de sa crèche : le bébé « caïd » qui terrorise l’Essonne ?

Mory, 20 mois, banni de sa crèche : le bébé qui fait peur !

À Saint-Michel-sur-Orge, en Essonne, la micro-crèche privée Oursons et compagnie a claqué la porte au nez de Mory, un môme de… 20 mois ! Motif ? Un comportement jugé « brusque », avec jets d’objets lourds et des relations « compliquées » avec les plus petits. La direction, dans un élan digne d’un tribunal militaire, refuse de renouveler son contrat pour septembre 2025. La mère, Anaïs, 39 ans, crie à la discrimination et envisage de porter plainte, hurlant : « C’est encore un bébé ! » Mais quel genre de terreur miniature est ce Mory pour pousser une crèche à l’expulser comme un voyou de bac à sable ?

Mory, le « caïd » des couches-culottes

Mory, 80 cm de chaos, un regard de défi sous sa tétine. À 20 mois, ce garnement, décrit par sa mère comme « espiègle » et « plus vif que les autres », doit être un cocktail de dynamite. Selon Le Parisien, la crèche reproche à ce mini-tornado de balancer des objets lourds – probablement des cubes en plastique avec la précision d’un lanceur de base-ball – et d’avoir une « relation compliquée » avec les plus jeunes. Traduction : Mory, le caïd du parc à jeux, doit régner en maître, semant la panique parmi les bébés rampant à ses pieds. On l’imagine, mini-boss du biberon, arrachant les doudous et renversant les tours de Kapla avec un ricanement diabolique.

Mais soyons sérieux deux secondes : à 20 mois, un gamin, c’est à peine plus qu’un hamster dopé à la purée. Il babille, il titube, il découvre le monde en mettant tout dans sa bouche. Alors, quoi ? Mory serait-il le Pablo Escobar des bacs à sable, organisant des émeutes de poussettes ? Ou juste un môme un poil trop énergique pour une crèche qui préfère les bébés dociles, alignés comme des Playmobil ?

Une crèche dépassée ou un môme ingérable ?

Les sources brossent un tableau à hurler de rire. 20 Minutes rapporte que la direction d’Oursons et compagnie justifie l’exclusion pour « protéger les plus jeunes », comme si Mory était un catcheur miniature prêt à plaquer ses camarades. La Dépêche cite Anaïs, qui défend son fiston : « Il y a plein d’enfants à cet âge qui ont des gestes maladroits ! » Et elle n’a pas tort. À 20 mois, un gosse qui ne balance pas un jouet ou ne pousse pas un copain, c’est une licorne. Pourtant, la crèche insiste : Mory aurait besoin d’un « suivi par un professionnel de santé ». Un psy pour un bébé qui jette des cubes ? On frôle la parodie.

Mory a déjà un CV de baroudeur : deux crèches avant celle-ci, quittées pour suspicion de maltraitance (la première) et redressement judiciaire (la seconde). Pas de chance, le petit ! Mais ça sent la crèche qui, face à un môme un peu remuant, préfère dégainer l’exclusion plutôt que de l’accompagner. L’Internaute précise que le règlement d’Oursons et compagnie ne prévoit même pas de clause pour virer un gamin pour « comportement ». En gros, ils ont improvisé, comme un videur de boîte qui refuse l’entrée à un bébé trop looké.

À quoi ressemble un Mory « ingérable » ?

Reconstituons le portrait de ce bandit en couche. Mory, c’est probablement ce gamin qui, à la cantine, envoie sa purée en orbite d’un revers de cuillère. Pendant la sieste, il slalome entre les matelas, réveillant tout le monde avec des « Tatata ! » tonitruants. À la récré, il joue les bulldozers, fonçant sur les plus petits avec l’élan d’un rugbyman. Pas méchant, non, juste… intense. Anaïs le décrit comme « vif », et on la croit. Ce môme doit avoir l’énergie d’un chiot sous Red Bull, incapable de tenir en place plus de dix secondes. Et dans une micro-crèche, avec peu de personnel pour canaliser un tel ouragan, on imagine le staff au bord de la crise de nerfs, priant pour une pause café.

Mais franchement, qui peut blâmer Mory ? À 20 mois, on ne « gère » pas son comportement, on explore le monde à grands coups de curiosité maladroite. Si la crèche voulait « protéger » les autres, pourquoi ne pas proposer un accompagnement, comme une éducatrice spécialisée ? Un parent d’une autre crèche, Philippe, qui compatit mais comprend la décision : un gamin turbulent peut compliquer la vie du groupe. Sauf que là, on parle d’un bébé, pas d’un ado qui tagge les murs !

Pourquoi ça fait rire (et grincer des dents) ?

L’absurde de l’histoire, c’est cette crèche qui traite Mory comme un employé en période d’essai. « Désolé, petit, t’as pas fait l’affaire, dégage ! ». Elsa Hervy, de la Fédération des entreprises de crèches rappelle que la sécurité prime, mais que discriminer pour un handicap est illégal. Or, aucun diagnostic n’a été posé pour Mory. La crèche a juste décidé qu’il était « trop ». Trop quoi ? Trop bébé, peut-être ? Anaïs, elle, parle de « maltraitance psychologique », et on la comprend : se faire virer à 20 mois, c’est un coup dur pour l’ego.

Mory, héros malgré lui

Mory, c’est le Robin des Bois des biberons, un rebelle incompris qui, à 20 mois, défie déjà les normes des crèches trop rigides. Il n’est pas un monstre, juste un gamin qui vit à 200 à l’heure dans un monde qui veut des bébés sages comme des images. La crèche a paniqué, préférant l’exclusion à l’effort d’adaptation. Résultat ? Mory devient une star des faits divers, et Anaïs, une lionne prête à rugir en justice. Quant à nous, on rigole en imaginant ce diablotin en couche, roi du chaos, qui fait trembler l’Essonne à coups de cubes volants. Chapeau, Mory, t’es déjà une légende !

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par Chris

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